vendredi 26 février 2010

Droit de réponse : Pôle thermal à propos du CE (25.02.2010)

A la lecture de l’article paru dans le Républicain Lorrain de ce jour, jeudi 25 février 2010, nous tenons à vous apporter les précisions suivantes  : Ce n’est pas le Docteur Jean KIFFER qui est concerné par une décision du Conseil des Prud‘hommes sur le CE du Pôle Thermal, mais l’Association en tant que personne morale.

En outre, le Docteur Jean KIFFER n’a jamais tenu les propos que le journaliste lui attribue.
Par ailleurs, des élections du Comité d’Entreprise ont été organisées les 26 octobre et 9 novembre 2009.

Les syndicats se sont immédiatement ligués pour en demander l’annulation, qu’ils ont obtenue.

Le 29 décembre 2009, à leur initiative le Comité d’Entreprise a été interdit de fonctionnement par voie judiciaire. Malgré cette décision, l’ensemble des 360 salariés a bénéficié de l’intégralité des avantages liés aux gratifications offertes par le Comité d’Entreprise.

L’Association leur a même versé une prime du Président en fin d’année, et d’ailleurs ils se sont eux-mêmes estimés « gâtés ».

Ainsi, l’ensemble du personnel est tout à fait satisfait et n’a jamais subi de préjudice, bien au contraire. Nous ne pouvons tolérer l’action scandaleuse de 21 salariés sur 360 salariés réclamant injustement ce qu’ils ont déjà perçu.

C’est pourquoi une citation directe va être diligentée à leur encontre du chef d’extorsion de fonds et d’escroquerie.

 
L’Association du Pôle Thermal d’Amnéville les Thermes

mardi 23 février 2010

Le Docteur Jean KIFFER s’adresse au Premier Président de la Cour d’Appel de Metz.

Monsieur le Premier Président,


Je vous avais informé de l’acharnement administrativo-judiciaire envers l’association du Pôle Thermal et moi-même sur le fondement d’un accord d’entreprise qui s’est avéré être nul et non avenu.
Nous avons été obligés de faire une requête en suspicion légitime en date du 4 février 2010 à l’encontre des magistrats du Conseil des Prud’hommes de Metz.
En effet dans un Jugement en référé du 26 novembre 2009 le Conseil de Prud’hommes avait soutenu que l’activité de l’Association du Pôle Thermal était privée et n’était pas un service public. De toute évidence il n’entre pas dans la compétence du Conseil des Prud’hommes de se prononcer sur la notion de service public.


En outre, le conseiller prud’homal qui a statué sur ce dossier est un délégué CGT.
La décision du 26 novembre 2009 a prononcé l’annulation du licenciement et ordonné la réintégration des quatre salariés concernés. Pour autant, les 4 maîtres nageurs, à l’origine de ce litige, ne se sont jamais présentés sur leur lieu de travail pour reprendre leurs fonctions et ce sans motif légitime.
Ils n’ont, de même, jamais manifesté leur volonté explicite de retravailler, ne serait-ce qu’en demandant aux responsables d’exploitation de leur adresser leurs plannings.

Aujourd’hui le Président du Conseil de Prud’hommes de Metz entend nous faire payer des astreintes qui s’élèvent à 300 euros par jour de retard et par salarié…pour 75 jours d’absence injustifiée de la part de quatre employés. Cette condamnation est totalement absurde.

Or, nous avons appris par voie de Presse que le Président des Prudhommes, Monsieur Didier CLAUSSE, est un syndicaliste « chevillé au corps CGT » qui affiche la photo de Che Guevara dans son bureau et dont Karl Marx est le mentor.

Il avoue dans le journal local : « notre juridiction est un barrage au libéralisme. Le Gouvernement actuel nous musèle. »

Un Président d’une Juridiction qui avoue être un tel défenseur de la lutte des classes ne peut plus être objectif et son impartialité doit sérieusement être mise en doute.


Je suis un entrepreneur exclusivement social et bénévole. La mentalité du Président Didier CLAUSSE ne peut s’analyser qu’en une entrave à la bonne administration de la Justice.

J’ai été élu par le peuple et je suis Maire depuis 45 ans et ce sans interruption de mandat.

J’ai toujours agi dans l’intérêt général et j’ai créé dans cette région 2 500 emplois.

Etre jugé et condamné par un délégué CGT est une humiliation que je ne peux accepter, compte tenu du clivage politique existant entre nous.

Notre Avocat, Me Christian MULLER, vous a d’ailleurs adressé une lettre particulièrement claire à ce sujet dans laquelle il vous a fait part, sans ambiguïté, « d’une animosité certaine de la part du Conseil de Prud’hommes de Metz à l’encontre du Président de l’Association du Pôle Thermal ».

Me MULLER précise, en outre, que la situation traduit une situation incompatible avec le respect de la Justice.

Pour en revenir à notre requête en suspicion légitime, elle a été refusée. Pourtant, et ce conformément à l’article 359 du code de procédure civile, le premier Président, Didier CLAUSSE, aurait du vous transmettre son refus motivé. Or, ce n’est pas le cas.

Ce non respect de la procédure ne confirme-t-il d’ailleurs pas la légitimité de notre requête en suspicion légitime ?


Vous êtes l’une des autorités de tutelle des Conseillers prud’homaux, c’est la raison pour laquelle je tenais à vous informer personnellement de ces faits d’une particulière gravité.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma considération très distinguée.


Docteur Jean KIFFER
Ancien Député
Conseiller Général de la Moselle
Maire d’Amnéville-les-Thermes

vendredi 19 février 2010

Lettre Ouverte à Mr Bernard THIBAUT Secrétaire Général de la CGT - 16.02.2010

Monsieur le Président,

En 1965, j’avais l’honneur de battre la plus ancienne municipalité communiste de France. Je suis ainsi devenu un spécialiste de la subversion et dans mon livre « La dernière chance de la Liberté », j’avais parfaitement décrit ces mécanismes qui régnaient dans l’administration et plus singulièrement parmi les syndicats. En outre, dans ce même ouvrage, j’avais prédit l’écroulement de l’empire soviétique dans les 10 années à venir… (ouvrage publié en 1977).

Après l’effondrement du bloc soviétique, j’étais en droit d’espérer que même à Amnéville-les-Thermes les activités subversives de la CGT allaient disparaître. Or, depuis deux ans, votre organisation syndicale a jeté le dévolu sur ma municipalité en organisant avec déploiement de drapeaux rouges des manifestations syndicales les unes plus grotesques que les autres.

A l’occasion d’une de ces manifestations des délégués venus de France entière avaient séquestré mon épouse à notre domicile en février 2009.

Toute cette agitation syndicale dans notre commune ressemblait aux organisations subversives au pire moment de la lutte des classes. C’était d’autant plus ridicule qu’au départ nous ne comprenions pas les raisons réelles de ces agressions.

A voir le nombre de délégués CGT qui déambulaient devant et dans notre Mairie, on aurait pu croire à un véritable soulèvement syndical contre le « tyrannique » Maire d’Amnéville les Thermes. Or il n’en était rien, ces délégués venaient de toutes les entreprises de Moselle et de certaines administrations hors département.

Je ne vous apprendrais pas que la Mairie emploie 450 personnes pour zéro CGT. Au Pôle Thermal, sur 360 employés, il n’y a que un CGT.

Je suis Maire depuis 45 ans, j’ai créé une commune entreprise avec plus de 2 500 emplois directs et indirects.

Je vous avoue volontiers que je me suis servi de ces manifestations folkloriques de la CGT pour faire du marketing négatif…

Néanmoins, lors du dernier coup de boutoir de la CGT, les employés municipaux n’ont pas compris les causes de cette violence…

Les agressions de votre organisation syndicale sont d’autant plus surprenantes qu’elles soutiennent une cause indéfendable…

Les 2 individus, que vous entendez protéger, se sont affiliés à la CGT en 2007 alors qu’ils avaient fait l’objet de procédures disciplinaires bien avant cette date. Ils vous ont dupé avec leurs mensonges. Ils n’ont, en effet, été policiers stagiaires que durant 3 mois du 1er mars 1996 au 1er juin 1996. C’est le Sous-préfet qui les a fait radier de cette fonction.

Depuis cette date, ils n’étaient plus qu’agents d’entretien chargés d’une mission de circulation. Donc, depuis juin1996, ces deux individus n’avaient plus rien à voir avec la police municipale.


Cela ne les a pas empêché d’établir un faux procès verbal auprès du Procureur de la République avec des dénonciations calomnieuses vis-à vis de la municipalité, en usurpant le titre d’assistant de police judiciaire.

En outre, à deux reprises, ils ont proféré des dénonciations calomnieuses contre leurs propres collègues de travail en les faisant convoquer et auditionner dans les locaux de la Police Judiciaire. Ces méthodes de délation rappellent pourtant de tristes souvenirs…

Excédé par leur comportement et pressé par l’opinion publique, le conseil municipal à l’unanimité, a été dans l’obligation de prendre la décision officielle de licencier ces deux agents.

Voilà, l’entière vérité, Monsieur le Président.

Je suis persuadé que votre organisation syndicale a été trompée car je n’ose croire que celle-ci préfère défendre 2 individus, même subversifs, contre plus de 2 500 employés de l’entreprise Amnévilloise.

Si j’en appelle à vous, c’est parce-que j’ai du tempérer une initiative émanant de mes employés municipaux qui avaient l’intention de séquestrer vos délégués syndicaux aux sièges de l’union locale de Metz, Hagondange et Thionville.

Les pancartes ont déjà été fabriquées : « là où la CGT passe, l’emploi trépasse… »

Il faut bien comprendre que mes agents voulaient tout simplement rendre la monnaie de leur pièce à vos délégués syndicaux, excités, qui se croient tout permis et exhibent le drapeau rouge de la CGT devant l’Hôtel de Ville de ma Commune. Très légitimement, à leur tour, mes employés municipaux voulaient brandir le drapeau d’Amnéville-les-Thermes devant vos locaux.

J’ai demandé à mes agents de surseoir à ces manifestations car j’estime que le problème du chômage et de la sidérurgie doit nous inciter à canaliser toutes les énergies qu’elle soient de droite ou de gauche pour créer des emplois et sauver l’économie locale.

J’ose espérer que vous avez demandé à vos délégués locaux de se mobiliser pour soutenir les emplois de l’entreprise Amnévilloise ainsi que mon initiative sur le site de Gandrange qui consiste à créer une aciérie électrique nouvelle, moderne et écologique.

Ce projet est connu notamment par certains de vos représentants dans une institution régionale et je sais que ces derniers l’approuvent.

Je le redis : « je suis un solitaire, je n’ai pas l’âme d’une victime, je déteste les combats destructeurs, je ne me bats que pour rassembler les énergies dans le but de la création concrète d’emplois dans notre vallée. »

Quoiqu’il en soit, si vos agitateurs professionnels ont besoin de se défouler, qu’ils se déchainent contre les destructeurs d’emploi et les « délocalisateurs », mais qu’ils fichent la paix à la commune entreprise amnévilloise.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

 
Docteur Jean KIFFER
Ancien Député
Conseiller Général de la Moselle
Maire d’Amnéville-les-Thermes


mercredi 10 février 2010

lundi 8 février 2010

Manifestation CGT en mairie d’Amnéville-les-Thermes le 3 février 2010

Une fois de plus, la CGT a organisé une manifestation toujours plus grotesque et plus ridicule que jamais devant la mairie d’Amnéville-les-Thermes.

Les média, et singulièrement France 3 Lorraine et France Bleu Lorraine Nord, ont largement couvert ce non-événement.
S’agissant d’Amnéville-les-Thermes, c’est normal.

Les mêmes excités de la CGT ont manifesté dans la foulée devant la Préfecture de la Moselle.
Pas une ligne, pas un mot.
S’agissant du Républicain Lorrain, rien de surprenant.
Quoique.
Nous rappelons aux journalistes que le Républicain Lorrain appartient aux mutualistes ; il appartient donc au peuple qui a le droit d’exiger d’être informé objectivement.

Concernant France 3 Lorraine et France Bleu Lorraine Nord, nous leur rappelons qu’ils représentent un service public, celui de l’information … bien entendu objective.


Docteur Jean KIFFER