vendredi 10 décembre 2010

LETTRE OUVERTE AU PREMIER PRESIDENT DE LA COUR D’APPEL DE METZ

Monsieur le Premier Président,

Décidemment j’aurai battu tous les records ! D’une peine symbolique en première instance, la Cour d’appel a prononcé une aggravation extraordinaire de la peine.

En prenant connaissance de la composition de la Cour, j’ai découvert avec la plus grande stupéfaction que le nom de famille de ma mère y figurait.

En effet, un des magistrats siégeant à l’audience n’est autre que la fille de mon cousin germain, en conséquence, un très proche membre de ma famille.

Ne s’agit-il pas là, Monsieur le Premier Président, d’un dysfonctionnement de l’institution judiciaire ?

La justice avait-elle besoin de faire siéger un magistrat de ma plus proche parenté pour me condamner ?

Quoi qu’il en soit, j’ai décidé de former un pourvoi en cassation à l’encontre de cette décision.

Il vous appartient maintenant, Monsieur le Premier Président, de tirer les conséquences de cette situation.



Dr Jean KIFFER

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