jeudi 28 février 2008

Batailles politiciennes pour une piscine !

Suite aux propos tenus par des élus locaux de vouloir construire toujours plus de piscine dans la vallée.


Les interventions des élus sur l’opportunité de réaliser une nouvelle piscine en remplacement de la piscine de la Ballastière me rappellent les pires moments des batailles politiciennes de la Vallée de l’Orne.

En effet, dès mon premier mandat de maire en 1965, j’avais toujours voulu réaliser une piscine olympique pour l’agglomération de la Vallée de l’Orne. Toutes les communes, je dis bien toutes les communes, se sont désolidarisées trouvant l’idée ridicule.
J’ai donc inauguré la piscine olympique d’Amnéville-les-Thermes au Centre thermal et touristique le 20 décembre 1974, et quelques années après voilà que Hagondange inaugure une piscine de 25m de long à l’étang de la Ballastière, soit à 500m de celle d’Amnéville-les-Thermes.
C’était absurde !

Par la suite, on a fait une piscine à Maizières-les-Metz, une autre à Moyeuvre Grande qu’on a même voulu fermer rapidement.

Devant ces allégations, la première question qu’il me vient à l’esprit et que bien sûr personne ne pose, c’est de savoir pourquoi la piscine olympique d’Amnéville est toujours opérationnelle comme au premier jour alors que la piscine de Hagondange, inaugurée deux ans après, a dû fermer sous prétexte de dégradations…

La vérité est qu’à Amnéville, tout l’argent a été dans les constructions et qu’à Hagondange, les finances ont d’abord servi les bureaux d’études parasites du parti communiste. Si vous donnez 10% de l’argent aux politiciens, vous ne pouvez plus investir les 100 % nécessaires à un équipement de qualité.

Je n’ai jamais entendu dire que la piscine d’Amnéville ne suffirait pas aux besoins de la Vallée de l’Orne puisque les écoles de Woippy, de Hagondange, de Vitry sur Orne, de Trémery, de Talange viennent à Amnéville. La piscine est tout à fait adaptée pour recevoir tous les enfants…

mercredi 27 février 2008

Qu'on foute la paix à Sarkozy !


Suite aux propos tenus lors de l’altercation de Monsieur Nicolas Sarkozy et d’un visiteur au salon de l’agriculture du 23.02.08.

Par pitié, qu'on lui foute la paix!…
La presse se comporte actuellement envers le président de la République comme une véritable inquisition au point qu'il ne pourra bientôt plus aller pisser tranquille… Qu'on me pardonne d'être aussi cru, mais c'est bien de cela dont il s'agit.
Je ne suis pas un fan de Nicolas Sarkozy. Tout le monde le sait depuis que j'ai appelé à ne pas voter pour lui, tant je n’y croyais pas. Mais il y a des limites à ne pas dépasser et sur cette affaire du Salon de l'Agriculture qu'on me permette de le défendre, et même de lui donner à 100 % raison.
Que pouvait-il faire d'autre que répondre vertement à ce malotru qui l'injuriait ? Faire semblant de ne pas entendre ? On l'aurait alors traité de lâche. Tendre l'autre joue ? Certainement pas. Je ne suis pas de ces idéalistes qui préconisent une attitude aussi angélique… D'ailleurs tous ceux qui me connaissent bien savent que si on me file un pain, j'en rebalance deux aussi sec.
Pour moi, il a bien fait et il n'y a pas lieu de s'étendre sur sa réponse, la seule d'ailleurs qui s'imposait en la circonstance.
Politiquement correct ou incorrect, dialogue public ou privé, il faut arrêter d'être hypocrite. Personne, quelles que soient les circonstances, ne peut pas se laisser injurier de la sorte sans réagir, pas même un Président de la République dans l'exercice de ses fonctions…

Cela me rappelle un épisode quelque peu similaire que j'ai vécu devant les locaux de l’Hôtel du Département de la Moselle en 1976, alors que j’étais député. J'étais arrivé au Conseil général, alors que quelque 5 000 sidérurgistes, syndicalistes en tête, manifestaient contre le plan acier de l’époque. Ils étaient très remontés et mon arrivée avait alors fait l'effet d'une bombe. En me reconnaissant, ils ont laissé exploser leur colère, me traitant de différents noms d'oiseaux et surtout de "fossoyeur de la sidérurgie" par rapport au débat national que j’avais obtenu à l’Assemblée nationale.

Je me suis aussitôt raisonné: reste silencieux, calme, zen, avance lentement vers le hall et le grand escalier de l’Hôtel du Département et laisse cette foule vociférer derrière toi… Mais, arrivé en haut de cet escalier, je n'ai pu me retenir : je me suis retourné vers les syndicalistes et, fièrement, je leur ai adressé un bras d’honneur !
Le silence qui s'en suivit m'a alors confirmé que j'avais fait la réponse qui s’imposait !


jeudi 21 février 2008

mercredi 20 février 2008

vendredi 15 février 2008

Article de Minute du 27 mars 2007

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mardi 5 février 2008

Droit de réponse en vertu de la loi du 29 juillet 1881 – article 13.

Suite aux propos tenu sur le blog Ensemble pour Gandrange qui a refusé de mettre les commentaires en ligne le lundi 4 février 2008.

J’exerce des responsabilités politiques depuis 43 ans, j’ai connu toutes les restructurations de la sidérurgie lorraine, je peux attester que les syndicats CGT et CFDT ne représentent que 8 % des salariés parce qu’ils n’ont jamais cessé d’être révolutionnaires et destructeurs.

Moi, je suis un homme d’honneur, personne ne m’a jamais fait plier. C’est la raison pour laquelle je méprise les propos tenus par les responsables syndicalistes actuels de Gandrange.

Depuis 4 ou 5 ans, je me bats contre la pollution inacceptable de l’aciérie. Je n’ai cessé de protester contre le délabrement évident de l’outil de travail que Monsieur Lakshmi MITTAL exploitait comme on presse un citron.

De surcroît, il est évident que l’investissement dans la productivité va de pair avec l’investissement de lutte contre la pollution.

Ainsi donc, au lieu d’être démagogue, assouvir la haine contre le maire d’Amnéville, ces syndicats auraient mieux fait de soutenir ma démarche qui ne faisait qu’exiger les investissements de la part de Monsieur MITTAL, et l’outil de travail serait aujourd’hui encore opérationnel.

Ces mêmes syndicalistes n’ont jamais protesté lorsqu’on a transféré le train à palplanches vers le Luxembourg. On a transféré récemment le train à fil qui était initialement à Amnéville de Longwy vers le Luxembourg et on a également transféré le train universel de Longwy vers le Luxembourg.

Après avoir englouti des milliards dans le PED de Longwy, ces syndicalistes ont accepté sans rechigner que l’on accepte la mort définitive de toute sidérurgie à Longwy au profit du Luxembourg…

Il est vrai qu’ARCELOR a promis des meilleurs salaires au Luxembourg…

Alors, Messieurs les Syndicalistes, donneurs de leçon, moi, lorsqu’on me dit : « on ferme ton usine, on l’ouvre ailleurs et on vous paie mieux… » J’appelle ça se faire acheter…

Docteur Jean KIFFER
Maire d’Amnéville les Thermes

lundi 4 février 2008

ORNEVILLE : un nouveau rêve pour l'avenir !

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