OBJET : AFFAIRES DE PERSONNEL - VOEU
Le Conseil Municipal tient à exprimer la révolte quasi unanime de la population contre cette polémique interminable. Cette affaire n’a que trop duré. C’est par délibérations du Conseil Municipal du 28 juin 2008, 30 octobre 2008, 15 octobre 2009 et 18 mai 2010 que la révocation de ces deux agents a été exigée.
Le Conseil Municipal rappelle que ces deux personnes n’ont jamais été policiers municipaux,
et qu’il a demandé la révocation de ces deux individus notamment pour insuffisance professionnelle, trouble à l’ordre public, dénonciation calomnieuse envers le Maire et leurs collègues de travail, dénonciation calomnieuse suite à deux non-lieux pour harcèlement et discrimination syndicale au travail, usurpation de titre, injures, insultes publiques vis-à-vis de l’autorité municipale, séquestration, diffamations publiques devant l’hôtel de ville, etc.
Le Conseil Municipal continue à estimer qu’une réintégration entraînerait un trouble sérieux à l’ordre public et créerait parmi les quatre cent cinquante salariés communaux une situation explosive. Le Conseil Municipal ne peut qu’exiger avec force l’application de la volonté souveraine de la population. Vox Populi, Vox Dei ! Là, comme ailleurs, le conseil municipal demande au Maire de faire respecter l’article 72 de la Constitution.
Le Conseil Municipal ne peut accepter une condamnation aussi importante par simple référé d’un juge au Tribunal Administratif, surtout à titre provisoire. C’est absurde.
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